Présentation

Un lieu d’écoute

La Passerelle jeunes c’est quoi ?

La Maison des adolescents – Passerelle jeunes est un lieu d’écoute, de conseil et d’accompagnement pour les ados de 11 à 25 ans ainsi que pour leurs familles et leurs proches. Tous peuvent y trouver des réponses à leurs préoccupations, qu’elles soient psychologiques, relationnelles, sociales, éducatives, juridiques ou d’addictions. Vous y trouverez quelqu’un à qui parler.

La Maison des adolescents - Passerelle jeunes est également un lieu ressource pour les professionnels concernés aux problématiques de l'adolescence.

Elle est affiliée à l’association nationale des maisons des adolescents.

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Ils témoignent
de leur expérience

Lucas, 17 ans

Je m'appelle Lucas, j'ai 17 ans. Je suis venu à la Passerelle sur les conseils de ma référente ASE car les relations avec ma nouvelle famille d'accueil sont difficiles. 

Je suis placé par le Juge pour Enfants depuis l'âge de 6 ans. Avant, je vivais dans une autre famille où tout se passait bien. Je les vois encore régulièrement, pour moi, ce sont eux ma vraie famille. Je n'en voulais pas d'autre...Mes vrais parents n'ont jamais été là pour moi. 

Avec l'accueillant de la MDA, j'ai pû comprendre pourquoi j'avais autant de difficultés à avancer, et surtout autant de problèmes avec les jeunes de mon âge. J'ai compris aussi ce que je pouvais faire pour améliorer les relations avec mon assistante familiale. Petit à petit, j'ai repris confiance en moi, je me suis fait des amis au lycée alors qu'avant j'étais tout le temps seul et en conflit avec tout le monde. 

Maintenant, j'ai des projets, l'approche de mes 18 ans ne me fait plus peur.

Lola, 16 ans

Je m'appelle Lola, j'ai 16 ans.  Je suis allée à la Passerelle Jeunes de moi même, sans en parler à mes parents. J'avais besoin de parler de mon mal-être et de mes crises d’angoisse. 

J'ai expliqué à l'accueillant que je subi du harcèlement dans ma classe. Tous es jours j'entendais des remarques et des injures. Nous avons réfléchi ensemble aux possibilités pour que ça s’arrête, et il m'a fait comprendre qu'il fallait que mes parents interviennent auprès du lycée. Finalement c'est moi qui suis allée voir le CPE  avec une copine pour parler de ce problème. 

Rapidement, la situation s'est améliorée au lycée. Par contre, je me sentais encore très triste et mon mal-être était encore plus important. J'avais beaucoup d' idées noires et des idées suicidaires. 

L'accueillant de la passerelle m'a alors expliqué qu'il voulait rencontrer mes parents  pour les mettre au courant de mon état et  pour parler d'une orientation vers des soins. J'ai accepté. 

Suite à ce rendez-vous, j'ai été orientée vers l'UMOP. Dans les jours qui ont suivi, j'ai rencontré plusieurs professionnels de cette équipe. Depuis je suis suivie en pédopsychiatrie et je me sens mieux.

Thimotée, 20 ans

J'ai 20 ans, j'étais en échec scolaire, j'avais démissionné de mon bac routier suite à de nombreuses absences au lycée. Je n'allais pratiquement plus en cours depuis la séparation de mes parents. 

Je vis chez ma mère avec mes deux petits frères. Il y avait beaucoup de conflits avec ma mère car je ne voulais pas travailler. J'avais été trop déçu de ne pas avoir réussi à avoir mon permis de routier. 

C'est une amie de ma mère qui nous avait parlé de la MDA. Elle y était venue pour sa fille . Elle nous avait conseillé d'y aller car je ne voulais pas du tout rencontrer un psy, mon père est lui-même suivi par un psychiatre et il ne voulait pas de ça pour moi. 

Dès notre première rencontre, l'accueillant de la MDA m'a parlé et m'a accompagné vers la Mission Locale. En parallèle il m'a proposé de le rencontrer pour « évaluer mon état de mal-être ». Ce qui m'a plu, c'est qu'il m'a permis de venir à mon rythme pour lui parler de mes problèmes. 

La Mission Locale m'a proposé de faire une formation pour adulte de chauffeur routier, j'ai réussi à  obtenir plusieurs permis avec cette formation. Et puis, surtout, grâce aux rendez-vous à la MDA, je me sens mieux, et les relations avec ma famille sont meilleures. 

Aujourd'hui je travaille dans une entreprise de transport et je vais bientôt passer mon permis 44 tonnes. 

De temps en temps je passe à la MDA pour donner de mes  nouvelles à la personne qui m'avait reçu. Ca m'a vraiment aidé !

Lucas, 17 ans

Je m'appelle Lucas, j'ai 17 ans. Je suis venu à la Passerelle sur les conseils de ma référente ASE car les relations avec ma nouvelle famille d'accueil sont difficiles. 

Je suis placé par le Juge pour Enfants depuis l'âge de 6 ans. Avant, je vivais dans une autre famille où tout se passait bien. Je les vois encore régulièrement, pour moi, ce sont eux ma vraie famille. Je n'en voulais pas d'autre...Mes vrais parents n'ont jamais été là pour moi. 

Avec l'accueillant de la MDA, j'ai pû comprendre pourquoi j'avais autant de difficultés à avancer, et surtout autant de problèmes avec les jeunes de mon âge. J'ai compris aussi ce que je pouvais faire pour améliorer les relations avec mon assistante familiale. Petit à petit, j'ai repris confiance en moi, je me suis fait des amis au lycée alors qu'avant j'étais tout le temps seul et en conflit avec tout le monde. 

Maintenant, j'ai des projets, l'approche de mes 18 ans ne me fait plus peur.

Lola, 16 ans

Je m'appelle Lola, j'ai 16 ans.  Je suis allée à la Passerelle Jeunes de moi même, sans en parler à mes parents. J'avais besoin de parler de mon mal-être et de mes crises d’angoisse. 

J'ai expliqué à l'accueillant que je subi du harcèlement dans ma classe. Tous es jours j'entendais des remarques et des injures. Nous avons réfléchi ensemble aux possibilités pour que ça s’arrête, et il m'a fait comprendre qu'il fallait que mes parents interviennent auprès du lycée. Finalement c'est moi qui suis allée voir le CPE  avec une copine pour parler de ce problème. 

Rapidement, la situation s'est améliorée au lycée. Par contre, je me sentais encore très triste et mon mal-être était encore plus important. J'avais beaucoup d' idées noires et des idées suicidaires. 

L'accueillant de la passerelle m'a alors expliqué qu'il voulait rencontrer mes parents  pour les mettre au courant de mon état et  pour parler d'une orientation vers des soins. J'ai accepté. 

Suite à ce rendez-vous, j'ai été orientée vers l'UMOP. Dans les jours qui ont suivi, j'ai rencontré plusieurs professionnels de cette équipe. Depuis je suis suivie en pédopsychiatrie et je me sens mieux.

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